il vente
mercredi, février 16, 2005
Troisème bulletin, le 28 mars 2003
28 mars 2003
Dans le «The New York Times» du 25 mars : «Apprendre du passé», traduction libre de «Learning from the last time». À moins qu'ils ne veuillent dire qu'ils apprendront pour la dernière fois???
Et, en plus petit, ces deux sous-titres, précédant une analyse psychologique poussée : «Treatment and training help reduce stress of war» et «In search of a Gulf War with no Gulf War illness». («Le traitement et l'entraînement aident à réduire le stress de la guerre» et «La recherche d'une Guerre du Golfe mais sans la maladie de la guerre du Golfe».
Nous avons compris que le but visé est de permettre aux pauvres soldats américains de faire la guerre sans peine. Ils vont ainsi pouvoir tuer, violer et piller puis revenir sans traumatisme, l'âme en paix avec le sentiment du devoir accompli. Évidemment, on cherche des causes physiques au traumatisme, comme des toxines, des armes biologiques ou autre, que le méchant ennemi aura insidieusement déversé sur nos braves troupes, et qui seraient la cause de cet étrange sentiment de culpabilité qui les assaille après avoir tué, violé et pillé.
Puisqu'il est impensable (scornfull) que la cause soit psychologique...C'est tout ce que les Américains auront retenu des leçons des guerres précédentes. Vive le progrès.
Dans le «The New York Times» du 25 mars : «Apprendre du passé», traduction libre de «Learning from the last time». À moins qu'ils ne veuillent dire qu'ils apprendront pour la dernière fois???
Et, en plus petit, ces deux sous-titres, précédant une analyse psychologique poussée : «Treatment and training help reduce stress of war» et «In search of a Gulf War with no Gulf War illness». («Le traitement et l'entraînement aident à réduire le stress de la guerre» et «La recherche d'une Guerre du Golfe mais sans la maladie de la guerre du Golfe».
Nous avons compris que le but visé est de permettre aux pauvres soldats américains de faire la guerre sans peine. Ils vont ainsi pouvoir tuer, violer et piller puis revenir sans traumatisme, l'âme en paix avec le sentiment du devoir accompli. Évidemment, on cherche des causes physiques au traumatisme, comme des toxines, des armes biologiques ou autre, que le méchant ennemi aura insidieusement déversé sur nos braves troupes, et qui seraient la cause de cet étrange sentiment de culpabilité qui les assaille après avoir tué, violé et pillé.
Puisqu'il est impensable (scornfull) que la cause soit psychologique...C'est tout ce que les Américains auront retenu des leçons des guerres précédentes. Vive le progrès.
Voyons voir notre petit bulletin satellite pour aujourd'hui :
«Bagdad was rocked by fresh exlosions». Eh oui, encore des nouvelles fraîches et des bombes fraîches.
GBush répète sa promesse de publier «a long-awaited roadmap for Middle East peace». Il n'a pas eu le temps de s'occuper de la paix au Moyen-Orient, puisqu'il était trop occupé à faire la guerre. Il ne peut pas tout faire à la fois!
Tony Blair affirme que les 2 soldats britanniques morts montrés à la T.V. arabe ont été «exécutés». Ah? Il y a une différence entre être exécuté et être juste tué à la guerre? C'est vrai que les soldats morts «normalement» pendant la guerre le sont «accidentellement», parce qu'ils se trouvaient sur le passage d'une bombe, par exemple. Ceux qui sont «exécutés» ont été tues exprès! Quelle vilainie!
Pas de nouvelle triviale pour aujourd'hui. Prochain bulletin demain. Bonsoir. Comme dirait Bernard Derome.
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